Photo credit: Jonathan Rausseo
Hello fellow food consumers,
Hungry yet? Can you name one thing we hear about constantly on the radio, on television, from fellow coworkers? Food! And coffee…but mainly food. Even in the comfort of my office, there is a small sign saying “Warning: starving sustainable students working”. Within this building, there are omnivores, vegetarians, vegans and now a raw foodist. That would be me. The raw food diet was recommended to me by a naturopath as a detox to help with my food intolerances (and hopefully help my system digest gluten one day). But what is the raw food diet, you ask?
Well, a whole lot of raw fruit, vegetables, nuts and dehydrated crackers. It’s very healthy, providing your body with more energy, helping you lose weight, detox after too much summer partying, boost your great immune system and give you some sustainable brownie points.
So off to Chapters with me to get a great book: Going Raw by Judita Wignall which shows pictures of yummy recipes, raw ice cream, smoothies and even crepes! It’s a breeze to make food at home with a garden on hand and a fresh supply of fruit, vegetables and nuts. But where can I eat on campus?
Eh bien, le Pivik a quelques bananes….la pharmacie, quelques noix… de quoi m’aider à survivre jusqu’à l’heure du repas. Mais pour ce qui est des restos :
Tout d’abord, le Royal Oak offre quelques salades, souvent accompagnées de viande et de vinaigrette sucrée à souhait, donc un crudivore pourrait manger la salade seule. Puis, le Café Alt, outre le fait qu’il soit fermé pendant l’été, on pourrait probablement manger la salade de fruits…quoique le sirop ne soit probablement pas du jus d’agave ou du sirop d’érable de grade B. Pour ce qui est de la cafétéria, on peut y grignoter une pomme et une orange. Enfin, le Café Nostalgica ainsi que le PSP sont les meilleurs lieux où se remplir l’estomac lors d’une détox crue. Ils offrent des salades avec des vinaigrettes faites à base d’huile d’olive et de quelques épices. Comme vous pouvez en témoigner, je ne suis plus une crudivore, je suis un lapin! Et affamée.
Bref, en venant à l’Université, j’étais convaincue que ce serait un lieu de découvertes, d’ouverture d’esprit où je serais libre d’essayer toutes sortes de choses : philosophies, sports, nourriture et amitiés. Jusqu’à date, j’ai pu essayer différentes coupes de cheveux, trois types de danse, le kick-boxing, le bénévolat avec des groupes étudiants, mais pas des alternatives alimentaires. Pourtant, manger est un besoin assez important qui n’est pas accessible à tous sur ce campus.
A quand la liberté alimentaire?
-katherine